Only our Rivers Run Free - London
Paroles et musique: Mickey McCONNELL (1965) Arrangement: The Wolfe Tones (1973)

When apples still grow in November
When blossoms still bloom from each tree
When leaves are still green in December
It's then that our land will be free

I wander her hills and her valleys
But still to my sorrow I see
A land that has never known freedom
Where only her rivers run free

I drink to the death of her people
The ones who would rather have died
Than to live in the cold chains of bondage
To bring back the rights we’re denied

Oh where are you now when we need you?
What burns where the flame used to be?
Are you gone like the snows of last winter?
And will only our rivers run free?

How sweet is life, but we're crying
How mellow the wine, yet we’re dry
How fragrant the rose, but it's dying
How gentle the wind but it sighs!

What good is in youth when you’re aging?
What joy is in eyes that can see
That there's sorrow in sunshine and flowers
If only our rivers run free?

Translation



Seules nos rivières sont libres de couler :
Quand les pommes pousseront encore en novembre ;
Quand chaque arbre donnera encore des bourgeons.
Quand les feuilles seront encore vertes en décembre,
Alors, notre pays sera libre.

Je parcours ses collines et ses vallées,
Mais à ma grande tristesse je vois toujours
Une terre qui n’a jamais connu la liberté,
Où seules ses rivières coulent librement

Je bois à la mort de son peuple,
A ceux qui ont préféré mourir
Plutôt que vivre dans les chaînes froides de la servitude
Pour nous rendre les droits dont nous sommes privés

Oh, où êtes-vous maintenant qu’on a besoin de vous ?
Qu’est-ce qui brûle là où il y avait la flamme ?
Avez-vous disparu comme les neiges de l’hiver dernier ?
Et est-ce que seules nos rivières seront libres de couler ?
Comme la vie est douce, mais nous pleurons.
Comme le vin est doux, mais nous avons soif.
Comme la rose est parfumée, mais elle se meurt.
Comme le vent est léger, mais il soupire !

A quoi bon la jeunesse quand on vieillit ?
Quelle joie y a-t-il dans des yeux qui voient
Qu’il y a de la tristesse dans le soleil et les fleurs,
Si seules nos rivières peuvent couler en toute liberté ?